Präsentiert von 1-a-Grind und Bad Bonn: Beautiful grinding violence from Singapore & Sweden
Grind the night away! Was gibt es völkerverbindenderes als Blast-Beats, gekeifte Parolen und HM2-Sägegitarren? Nun täte man Wormrot aus Singapur Unrecht, wenn man ihnen nicht elaboriertes Songwriting (geht auch in unter einer Minute!) und raffinierte, erstaunlich melodische Gitarrenarbeit attestierte, aber deswegen geht kein Jota Urgewalt verschütt. Da knüppeln die alten Schweden von Bleachdrinker einiges primitiver – allerdings nicht weniger bekömmlich: Der Fokus liegt auf brachialer Gewalt – ein Hochgenuss! Vor allem ist bei beiden Acts aber noch mehr Punk als Metal, was Grindcore immer guttut (Anm. d. Verf.).
Grind the night away ! Quoi de plus fédérateur que des blast-beats explosifs, des slogans criés et des guitares HM2 au son de scie ? On aurait tort de ne pas reconnaître à Wormrot de Singapour une écriture de chansons élaborée (qui tiennent en moins d'une minute !) et un jeu de guitare raffiné et étonnamment mélodique. Cela n'enlève rien à leur puissance primitive. Les vieux Suédois de Bleachdrinker frappent plus brutalement, mais pas moins agréablement : l'accent est mis sur la violence brute, un vrai régal ! Mais surtout, ces deux groupes sont plus punk que metal, ce qui est toujours bon pour le grindcore (ndr).
Text: Thomas Jenny
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